La question du génocide par injection... Penser l'impensable pour trouver du sens et mettre fin à la folie.
Ce mois-ci, Néosanté a publié mon article sur la question du génocide par injection. Je vais être sincère, cela me met toujours un peu mal à l’aise quand on parle de ‘dossier-choc’, mais en même temps c’est vrai.
On pourrait facilement s’imaginer que je verse dans le sensationnalisme à force d’explorer des recoins sombres et de poser d’horribles questions, mais c’est tout le contraire qui m’anime. Je n’aime pas lorsque l’on brandit des têtes de morts et des croix gammées pour accuser les vaccinateurs et les vaccinés, même si au fond de moi je comprends la violence et la colère que les gens ressentent. Si j’ai abordé ce sujet, c’est parce qu’il y a un moment où plus rien n’a de sens tant que l’on ose pas penser l’impensable. Pour moi ce moment est arrivé lorsque j’ai lu l’appel de Mike Yeadon, l’ancien vice-président de Pfizer. Il a fait le chemin de beaucoup d’autres médecins, d’abord en se disant que l’on prend trop de risques, ensuite en avertissant des dangers réels et puis en lançant l’alarme sur les dommages et décès observés. C’est par exemple lui qui a le premier averti l’Agence Européenne des médicaments lorsque l’on a observé les premiers cas de thrombose avec les injections d’Astra Zeneca. A chaque fois, il a espéré une réaction des autorités de santé ou de la communauté scientifique, enfin quelque chose qui finisse par arrêter ces injections qui sont inutiles puisqu’il y a des traitements, inefficaces puisqu’elles n’empêchent pas la transmission, et dangereuses puisqu’aujourd’hui que les vaccins tuent plus que le covid. Au début, il a cherché à trouver des excuses…c’est la panique, la désorganisation, l’incompétence, le manque de responsabilité, l’appât du gain etc. In fine, pour ne pas devenir fou, il a fini par penser l’impensable: et si c’était volontaire?
L’année dernière j’avais assisté à l’international Covid Summit à Rome qui avait pour objectif de donner la parole à des médecins du monde entier ayant soigné des malades du Covid, alors que les gouvernements continuaient d’affirmer qu’il n’y a aucun traitement pour pousser la vente des vaccins. J’avais été touchée d’entendre la voix de certains d’entre eux s’étrangler d’émotion et de désarroi: pourquoi, pourquoi, mais pourquoi leur interdisait-on de soigner les malades avec des médicaments connus et bon marchés tels que l’hydroxychloroquine, l’ivermectine ou les antibiotiques? Je comprenais leur souffrance, ils en étaient au point de perdre la boule.
Rentrée chez moi, j’ai donc écrit une lettre afin de leur expliquer l’agenda global, du moins la partie qui concerne le plan mondial de la vaccination et le volet économique du grand reset. C’était une bonne idée, j’ai reçu une avalanche de remerciements, parce qu’au moins cela faisait sens. Il y avait bien une véritable raison de leur interdire de soigner leurs patients et même si elle était mauvaise, au moins ce n’était pas leur incapacité à se faire entendre qui était en cause.
L’objectif lorsque l’on aborde des idées qui choquent c’est que cela puisse avoir une utilité. La majorité des gens qui vaccinent veulent faire le bien. Mais l’enfer est pavé de bonnes intentions, le diable est dans les détails…ou peut-être dans ces fioles ‘vaccinales’, que l’on injecte à tous sans être autorisé à en connaître le contenu. N’est-il pas légitime de se méfier? Et jusqu’où peut-on aller au nom du bien et surtout du bien commun? Peut-on forcer les gens? Serait-on en train de supprimer les faibles et les inutiles? Des génocides, on en connait. Les peuples se massacrent partout dans le monde et le fait qu’il y ait des politiques visant à réduire la croissance démographique de telle ou telle race ou ethnie n’a rien de nouveau. Les campagnes d’injections anti-fertilité menées en Afrique en sont la preuve. Et Tedros Ghebreyesus, le directeur de l’OMS est-lui même accusé d’avoir mené des politiques génocidaires dans son pays. Mais qu’une société soit capable de réduire sa propre population est difficile à imaginer.
Il y a pourtant des précédents et des signes qui devraient nous faire réfléchir. Ainsi, l’article sur le programme T4 rappelle comment les nazis ont d’abord mené un politique d’élimination des enfants allemands ‘à besoins spécifiques’, avant d’en faire de même avec les juifs dans les camps. Ce qui me frappe le plus, c’est que les médecins et les infirmières qui se sont volontairement livrés à ce sinistre crime étaient pour la plupart convaincus de faire un acte de compassion. En voyant la photo de groupe où ces jeunes femmes semblent former une équipe joyeuse et enthousiaste à l’idée de servir la nation, j’ai imaginé que plusieurs parmi elles ont peut-être eu une caresse ou un sourire tendre en injectant un liquide mortel à ces petits…une mort tout en douceur, pour ton bien et celui de tous. Les médecins responsables de ce programme ont reçu des honneurs académiques et des médailles de mérite. Tout cela ne demandait-il pas finalement ‘un certain courage’, le mérite de ceux qui font des choses difficiles pour le bien de tous?
Cela nous paraît bien sûr horriblement choquant, mais pourtant l’élimination des faibles dans un monde ‘qui est à court de ressources’ est de plus en plus encouragée par de nombreuses politiques tel que l’avortement jusqu’à la naissance ou la facilitation, voire une certaine promotion de l’euthanasie.
Alors je me suis posée cette question: et toi Senta qui a grandi dans un milieu élitiste… si au sortir de tes études, avant de devenir maman, avec la tête farcie de propagande on t’avait demandé de ‘prendre des décisions difficiles pour le bien commun’ en éliminant les faibles et les bouches inutiles à nourrir, qu’aurais-tu répondu?
Je crois que penser l’impensable, cela commence par soi. C’est en s’approchant du mal, en l’observant, en le ‘réfléchissant’ que l’on sera peut-être à même de le neutraliser.
Senta Depuydt
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Merci Eric pour ce commentaire! Effectivement il est difficile de s'attaquer au déni et il est évident que l'immense majorité des personnes n'ont pas d'intention génocidaire. Après...il y a des distinctions nécessaire entre le génocide, l'épuration ethnique, l'eugénisme ou la limitation de la croissance démographique. Si on tue tout le monde sans le faire exprès, on peut peut-être parler de génocide ou démocide involontaire pdt un bref moment. Par contre, si on refuse de faire le bilan et de mettre fin à la catastrophe, l'on devient responsable. Je devrais peut-être rédiger une 2ème partie à l'article pour développer les intentions génocidaires, parce qu'en réalité, il y a tout de même des personnes et des organisations spécifiques à mettre en cause...Je vais déjà reposter celui sur Tedros que j'ai évoqué brièvement.
je doute quand même qu'il y ait eu dès le départ une volonté de réduire la population au travers de cette campagne de vaccination sous la contrainte directe ou indirecte.
la conjonction de la précipitation, le déploiement d'une technologie expérimentale, l'appât du gain, la corruption des systèmes de santé et la propagande médiatique fait qu'aujourd'hui on peut se poser cette question de la dépopulation au vu des effets secondaires ravageurs.
le problème aujourd'hui c'est qu’absolument personne parmi les décisionnaires ne prendra le risque d'assumer la responsabilité de cette débâcle. et même les personnes vaccinées ne voudront jamais admettre les risques qu'elles encourent. le choc de reconnaître qu'elles ont en elles une possible bombe à retardement mortelle conduit à une oblitération de la capacité de raisonnement. pour les médecins qui ont pratiqué ce geste c'est pareil. qui peut admettre avoir commis indirectement un possible génocide ?
le problème sera éludé et ignoré, les chiffres continueront à être trafiqués et la hausse de la mortalité sera attribuée à des phénomènes inexpliqués quitte à inventer des nouvelles maladies comme le syndrome de la mort subite pour lequel les truandeurs de l'humanité ont déjà certainement trouvé un remède.
c'est pas beau à voir, ca met en lumière toute l'ignominie dont est capable les humains, mais je ne peux me résoudre à l'idée que tout cela soit prémédité.