Vaccins stérilisants au Kenya, un agenda diabolique
La dernière interview du Dr. Stephen Karanja avant sa disparition
Le Dr Stephen Karanja et le Dr Wahome Ngare représentent l’association des médecins catholiques du Kenya (KCDA). Ces médecins ont juré de pratiquer et de vérifier l'exercice de la médecine, guidés par la foi catholique et le serment d'Hippocrate et dans le respect de la dignité humaine et de la protection de la vie. Durant la pandémie, ils se sont montrés très critiques envers l’OMS et ont émis deux interpellations concernant les politiques de réponse à la pandémie, en particulier dans le contexte africain. S’ils ont d’emblée affiché de la méfiance envers les mesures préconisées, c’est en raison des sinistres campagnes que l’OMS a menées au Kenya pour stériliser les femmes à leur insu. Le film récent ‘Fertilité, un agenda diabolique’ a révélé la perversion de cette opération et la manière dont on a tenté d’en effacer les preuves.
Uwe Alschner a réalisé cette longue interview en anglais en mars 2021, dont nous reprenons la deuxième partie, celle qui concerne les campagnes d’eugénisme racial de l’OMS.
Dr Stephen Karanja
2ème partie de l'interview :
Uwe Alschner : Vous, les médecins catholiques kényans, vous avez vécu un incident, il y a huit ou dix ans, au cours duquel vous avez fait une découverte très, très choquante concernant les campagnes officielles de vaccination dans votre pays. Quel était le problème à l'époque? Comment l'avez-vous appris ?
DR. KARANJA : Faisons un retour dans le passé. En 1995, l'Organisation mondiale de la santé a lancé un vaccin contre le tétanos dans notre pays.
J'étais déjà dans le corps médical et avant cela, j'avais passé quelque temps dans la recherche sur les vaccins. Notamment j'avais lu - les sources sont publiques - que l'Organisation mondiale de la santé avait mis en place et financé une commission spéciale en 1972.
Cette commission travaillait sur des vaccins contre la fertilité ! Depuis 1972 !
(Extrait de la documentation du programme spécial de l'OMS pour la reproduction humaine du 22 mai 1992).
Car de tels vaccins ont effectivement été développés. Les chercheurs ont réussi à coupler un vaccin contre la fertilité à un vaccin contre le tétanos. Et c'est pourquoi le vaccin contre le tétanos pouvait être administré sous deux formes :
Une ordinaire, pour prévenir le tétanos. Et une deuxième comme vaccin contre la fertilité.
Pour les vaccins contre la fertilité, le schéma d’administration est différent.
Si le vaccin contre le tétanos est administré normalement, il faut attendre 8 à 10 ans avant de devoir le renforcer. Si c’est le vaccin contre la fertilité qui est donné, cinq à six doses individuelles doivent être administrées à six mois d'intervalle pour programmer le corps à produire des anticorps qui agissant contre la substance que l’on ajoutée au vaccin afin d’empêcher ou de stopper la grossesse.
Cette substance se nomme HCG, c’est une hormone de grossesse, la gonadotrophine chorionique humaine (HCG). Donc le corps produit des anticorps contre les hormones de grossesse, il ‘attaque’ la grossesse. Vous trouverez cela dans la littérature de l'OMS, accessible au public.
Donc, en 1991, ils ont testé ce vaccin dans trois pays : Au Mexique, au Nicaragua et aux Philippines. Ils voulaient savoir si le vaccin contre la fertilité était efficace. Ils ont eu leur réponse.
La réponse a été un cauchemar pour les femmes vaccinées. Elles avaient entre 14 et 49 ans, toutes en âge de procréer. En 1993, j'ai été invité à une conférence à Houston, au Texas. Et lors de cette conférence, un médecin mexicain a présenté les résultats de cette expérience dans son pays. Au Mexique, ils avaient fait cela sous forme de "campagne".
Il y a d'une part les vaccinations régulières du ministères de la santé auxquelles les enfants et les adultes ont droit, et d'autre part les "campagnes" complémentaires que l'OMS mène avec des subventions extérieures (UNICEF par ex.).
L'OMS se rend alors dans un pays pour mener ces campagnes, qui durent un ou deux mois et ont un objectif précis en nombre de personnes vaccinées. C'est ce qu'ils ont fait au Mexique, au Nicaragua et aux Philippines.
J'ai reçu ces rapports lors de la conférence de Houston. C'était en 1993.
En 1995, ils ont introduit ce vaccin ici, au Kenya. Mais de mon côté, j'étais déjà au courant grâce à ces rapports. Alors j'ai abordé le sujet en tant que médecin catholique. en disant que l'OMS avait déjà agi de manière irresponsable à ce sujet, et que nous devions, en tant qu'Africains, exiger que les vaccins soient testés sur pour vérifier l’éventuelle présence d’hormone HCG avant de pouvoir être administrés à notre peuple. Le vaccin devait être testé ici, dans le pays, pour exclure une chose simple : qu'il ne contienne pas d’HCG !
A l'époque, en 1995, le gouvernement kenyan a convoqué une réunion à laquelle ont participé trois parties : Le ministère kenyan de la Santé, l'OMS et l'Eglise catholique.
Et le gouvernement kenyan avait exigé que les questions sur ce vaccin soient abordées de manière sérieuse. En disant : nous avons besoin de tester ce vaccin ici avant de l'administrer. Cette question est légitime et doit être résolue.
Savez-vous ce qui s'est passé ensuite, à l'époque, en 1995 ? L'OMS a récupéré chaque flacon de vaccin et a disparu. Il n'y a pas eu de vaccination !
Mais en septembre 2013, l'OMS est revenue pour mener une nouvelle campagne et ce vaccin a été administré à des femmes âgées de 14 à 49 ans. C'est alors que nous avons compris la tragédie qui s'est produite. Quand nous avons vu l’OMS revenir six mois plus tard pour administrer le même vaccin, le tétanos, alors que le rappel ne se fait pas avant 8 à 10 ans. Or, là il fallait l’administrer après seulement six mois.
Alors nous, les médecins catholiques, avons posé une question simple : pourquoi ? Ce vaccin contient-il de l'HCG ? Est-ce le vaccin contre la fertilité ? Essayez-vous encore de tromper notre pays et de rendre nos femmes stériles? Vous n'êtes peut-être pas encore allés en Afrique, mais les politiciens africains et les gouvernements africains se laissent très facilement manipuler par des personnes qui leur fournissent de l'argent.
Et l'Organisation mondiale de la santé finance beaucoup de travail au ministère de la Santé. Et c'est pourquoi, à l'époque, le gouvernement kenyan a donné raison à l'Organisation mondiale de la santé et nous a accusés d’inventer, nous les médecins catholiques, des problèmes qui n'existaient pas. Puisque l'Organisation mondiale de la santé avait dit que tout allait bien, tout allait bien !
Mais entre-temps, nous avions mis la main sur quelques flacons du vaccin qu'ils avaient injecté. Et nous les avons fait tester par nous mêmes et dans les laboratoires les plus qualifiés, agréés selon la norme la plus élevée, HPLC. Et cela a montré, comme nous le craignions, qu'il s'agissait d'un vaccin anti-fécondité !
C'est cet événement, en mars 2014, auquel vous avez fait référence dans votre interpellation.
Nous nous engageons à dire la vérité - même au péril de notre propre vie !
Nous avons déjà vécu tout cela ! Nous pouvons sentir ces personnes malveillantes venir de loin. Et ici, au Kenya, il y a eu une guerre politique à ce sujet. Heureusement, il n'y a eu que quelques injections, le programme n'a jamais été terminé, mais ils ont essayé. Parce que la beauté de l'Afrique, c'est que même si le gouvernement ne t'écoute pas, notre peuple peut comprendre que nous disons la vérité - Il n'est pas facile pour les médecins d'être admis dans l'association des médecins catholiques. Il ne suffit pas d'être simplement élevé en tant que catholique. Chaque membre doit prêter serment. Très, très peu veulent vraiment travailler comme médecins catholiques, parce qu'ils doivent s'engager pleinement pour la vérité.
Nous nous engageons à respecter la vérité à tout prix, même si cela nous met en danger.
Voilà donc l'histoire. Nous avons manifesté et nos concitoyens nous ont écoutés. Ils ont refusé de se faire vacciner. Bien sûr, l'OMS est encore revenue à la charge. Cette fois avec le vaccin de la polio. Et ce vaccin aussi avait un problème. Et puis, la dernière fois qu'ils sont venus, c'était récemment, il y a environ deux ou trois ans, avec le vaccin contre le virus du papillome humain contre le cancer du col de l’utérus...
L'Organisation mondiale de la santé. Ils ne nous aiment pas du tout !
Il y a une grande réticence concernant ces thérapies géniques que tout le monde semble appeler un vaccin"
- Dr. Stephen Karanja
Et sur ce sujet particulier, il n'est pas étonnant que l’OMS fasse des cauchemars, car heureusement pour notre peuple, nous avons le Dr Ngare, ici, qui est l'un de nos médecins les plus éloquents, et je fais moi-même de mon mieux. Heureusement, notre population nous écoute. Il y a une grande réticence concernant ces thérapies géniques, que tout le monde semble appeler un vaccin, alors que ce n'est justement pas ça !
J'espère avoir répondu à votre question sur l'histoire de la confrontation et du rejet des vaccins, d'autant plus que cela n'émane pas d'une institution scientifique, mais d'une organisation quasi-politique appelée Organisation mondiale de la santé.
Car l'OMS n'est ni une organisation scientifique, ni une université, ni un hôpital.
Ces types sont plutôt des voyous. Ils viennent en Afrique et espèrent pouvoir abuser de leur institution pour faire pression sur les politiciens et l'opinion publique en Afrique, dans l'espoir de s'en sortir.
Dieu a été très clément avec nous jusqu'à présent. Nous sommes toujours là !
Uwe Alschner : Merci beaucoup ! Dr. Ngare, souhaitez-vous ajouter quelque chose ?
DR. NGARE : Oui, j’aimerai revenir sur les termes "antivax" et cet autre terme de "complotiste".
Si vous regardez l'histoire de la vaccination, comme nous l’avons fait dans notre interpellation, l'idée de base vient des premiers vaccins qui ont exposé le corps à des agents infectieux en suivant les processus naturels du système immunitaire...
En principe, il y a contact avec l'antigène, ou quoi que ce soit qui déclenche la maladie, et ce à la surface des cellules épithéliales. Par exemple, pour la varicelle, on utilisait le cowpox et on pratiquait de petites incisions dans la peau pour enlever l'épaisse peau protectrice, la kératine, afin d'exposer le derme et d'y introduire le matériel infectieux.
Cela permet au corps de développer l'immunité cellulaire et, sur cette base, l'immunité humorale, c'est-à-dire les anticorps. Ce serait la façon naturelle dont un antigène stimule le système immunitaire. Si j'avale quelque chose, cela passe par le tube digestif à travers une cellule épithéliale de surface, le corps a le temps de réagir. Si je subis une lésion de la peau, il se passe exactement la même chose.
Les premiers vaccins s'en tenaient à cette méthode. Ainsi le vaccin contre la variole et aussi le premier contre la tuberculose. Ce BCG était injecté sous la peau, et le vaccin contre la polio était administré par voie orale, car c'est ainsi que l'infection par la polio se produirait également.
Ces vaccins suivaient les voies naturelles du corps. Ils étaient donc très efficaces et se traduisent par une réponse immunitaire très solide, avec souvent une protection immunitaire à vie.
Lorsque l'on a commencé à injecter le matériel infectieux, ou l'antigène, dans le muscle en passant par les cellules épithéliales, nous avons modifié le mécanisme initial de l'immunisation. La surface épithéliale est ignorée dans la tentative de stimuler l'immunité cellulaire via le muscle. Parfois, la formation d'anticorps est meilleure que l'immunité cellulaire.
Mais cela n'était possible que si l'on ajoutait des conservateurs puissants. Des adjuvants [renforçateurs] étaient également nécessaires. Par exemple du mercure ou de l'aluminium. Et cela signifiait également que les agents pathogènes, bactéries ou virus, devaient être cultivés dans des cultures étrangères. On utilisait pour cela de la levure, aujourd'hui on utilise des cellules humaines.
Lorsque ces cultures sont récoltées et nettoyées pour la production, le produit final [le vaccin] contient toujours des restes de cette levure, ou de l'autre matériel sur lequel le virus a été multiplié.
Malheureusement, notre corps ne sait pas qu'il s'agit de résidus de production. C'est pourquoi le système immunitaire réagit également aux cellules de levure en produisant des anticorps contre celles-ci.
Au final, on a donc exposé le corps à de nombreux produits chimiques supplémentaires dans le seul but de rendre le vaccin efficace.
Mais en même temps, nous avons commencé à nuire gravement à nos enfants. L'aluminium est toxique. L'autisme est un phénomène courant. Les maladies auto-immunes en général sont fréquentes. Et comme les maladies auto-immunes sont également associées au cancer, nous assistons à une augmentation du nombre de cancers chez les enfants.
Le diabète - également une maladie auto-immune - est en augmentation, il y a des insuffisances rénales aiguës et chroniques, qui sont également des maladies auto-immunes. Il y a de nombreux nouveaux problèmes parce que nous n'avons pas respecté le mécanisme naturel du système immunitaire.
Ensuite, quand on regarde ces nouveaux vaccins, cela va encore plus loin. Parce que maintenant, on a pris des adénovirus, comme celui qui est utilisé dans le vaccin d'Astra-Zeneca. C'est un adénovirus comme on en trouve chez les chimpanzés. Cet adénovirus a été génétiquement modifié en y ajoutant du matériel génétique du virus du SRAS-CoV2. Il s'agit de celui qui produit la protéine spike.
Maintenant, on a un nouveau virus recombinant qui a été créé en laboratoire. Un adénovirus avec la protéine spike. Un virus génétiquement modifié. Et vous l'injectez à des personnes dans le but de créer une immunité. Si vous regardez ensuite le produit Pfizer, et aussi le vaccin de Moderna, vous avez affaire à des ARNm qui ont été entièrement, à 100 %, créés artificiellement dans un laboratoire qui doit également produire la protéine Spike.
Et qui a été inséré dans une nanoparticule qui a également été créée à 100 % en laboratoire. Vous avez donc affaire ici à un virus artificiel génétiquement modifié. Un virus 100 % artificiel. Et ça aussi, vous l'injectez aux gens.
Nous ne parlons plus des mêmes "vaccins" dont il était question au départ.
Nous parlons de thérapie génique.
- Dr Wahome Ngare
Vous avez créé un virus qui est artificiel et qui va infecter des cellules humaines pour les inciter à produire la protéine Spike, contre laquelle des anticorps peuvent ensuite être produits.
Si vous suivez attentivement cette conversation, vous verrez que nous ne parlons plus des mêmes "vaccins" que ceux dont il était question à l'origine. Et à ce stade, vous pouvez voir que nous ne sommes pas contre les vaccins. Nous sommes contre la stupidité !
Vous avez déjà entendu cette phrase. Nous ne tenons justement plus compte de la science ! Nous avons créé un énorme problème ! Nous créons maintenant des maladies à cause de quelque chose qui devrait nous aider. Nous ne savons pas encore combien de temps nous devrons observer les personnes vaccinées pour savoir quel type d'effets secondaires ces vaccins entraînent.
- Dr Wahome Ngare
Avec le vaccin contre le HPV, par exemple, notre principale préoccupation était l'intoxication à l'aluminium. Et nous commençons tout juste à voir les rapports des pays qui utilisent ce vaccin depuis si longtemps qu'il y a une suspicion de début de ménopause précoce.
Donc, si vous parlez de périodes de dix ans et plus pour pouvoir même voir des complications, et qu'ils n'ont testé les nouveaux vaccins que pendant six à huit semaines, alors nous ne parlons plus de science ! Nous parlons de politiques délétères et d'intérêts économiques à une échelle qui défie la raison humaine !
Qu’arrivera-t-il si dans dix ans, nous découvrons que ce vaccin a eu des conséquences énormes ? Un vaccin qui n'était pas nécessaire. Et s'il s'avère qu'au lieu de prendre de l'ivermectine et les autres médicaments disponibles, nous avons pris un vaccin qui n'a entraîné des complications qu'après 8 à 10 ans ?
C'est très inquiétant ! Dans notre prise interpellation, nous en avons discuté et soulevé la question :
L'adénovirus contenu dans le vaccin d'AstraZeneca, un virus OGM, n'est pas capable de se reproduire selon les données officielles. Vous comprenez ? Il n'est pas capable de se reproduire !
Cela signifie qu'il ne se reproduira pas s'il est dans l'organisme de l'hôte. On dit la même chose du vaccin Moderna : un virus artificiel qui ne se reproduit pas une fois qu'il est entré dans vos cellules. Il produira donc la protéine spike, mais ne se reproduira pas lui-même. Maintenant, d'après ce que nous savons des OGM, il faut donc insérer un gène terminateur dans ces virus. Il faut insérer quelque chose qui empêche la duplication.
Regardez notre exemple avec le maïs génétiquement modifié, dont nous parlons dans notre document : Là, le problème est le suivant : le gène terminateur ne se manifeste qu'après deux reproductions.
La première semence génétiquement modifiée doit être semée une fois pour produire la semence qui sera vendue à l'agriculteur. Il sèmera ensuite ces graines, qui porteront des fruits, mais qui ne seront plus fertiles !
Le gène Terminator n'est visible qu'après deux générations ! Ce n'est qu'à ce moment-là que la stérilité apparaît.
La question est donc la suivante : imaginez que ... Cette question nous taraude l'esprit, elle pèse sur notre cœur : supposons qu'il y ait un gène Terminator dans le vaccin qui puisse également affecter l'homme, cela signifie que nous ne saurons pas quel sera l'effet avant 50 ans !
Car cela signifie que la personne qui est vaccinée maintenant peut avoir des enfants. Mais ceux-ci ne seront alors plus en mesure de se reproduire !
Rien ne dit que ce ne soit le cas. Mais de quelle manière peut-on exclure ce risque ?
Si le simple fait de vérifier la présence d'HCG dans un vaccin a déjà dû vaincre tant de résistances !
Comment pouvons-nous examiner un vaccin en Afrique pour savoir s'il contient un gène Terminator ? Comment pouvons-nous savoir autrement si le vaccin est sûr ?
C'est pourquoi il est de la plus haute importance pour nous de revenir aux principes de la médecine !
Le vaccin est-il nécessaire ? Et si la réponse est non, il n'est pas nécessaire, alors nous pouvons nous dispenser d'examiner les autres choses. Car elles peuvent vous rendre fou !
Constatons simplement qu'il existe des possibilités de traitement ! Disons à notre peuple : "Procurez-vous les médicaments dont vous avez besoin ! Pour qu'ils soient efficaces, vous devez être traités dès que les symptômes apparaissent. Car si vous n'avez pas de traitement la première semaine, votre système immunitaire empêchera le virus de se répliquer. Mais cela signifie que votre charge virale sera très élevée. Et une charge virale très élevée signifie un risque très élevé de tomber dans la deuxième phase de la maladie, la phase inflammatoire".
Dans ce contexte, encore un mot sur le thème de l'hypoxie heureuse [Happy Hypoxia]. Vous devriez également informer les Allemands à ce sujet ! Quand l'on vous conseille de prendre quelques antidouleurs, et de ne rien faire sinon de rentrer chez vous jusqu'à ce que vous ne puissiez plus respirer sereinement, alors ce n’est pas une recommandation mais un arrêt de mort que l’on vous a donné ! Car la Covid-19 se distingue sur un point :
La pneumonie normale entraîne une détresse respiratoire grave avec un taux d'oxygène dans le sang de 90%. Vous avez du mal à respirer, tout devient difficile. Dans ce cas, personne ne doit vous conseiller d'aller à l'hôpital. Mais avec le Covid-19, les gens ont des valeurs de 80 ou 70 pour cent avant de développer une détresse respiratoire.
Si vous subissez des valeurs de 70 à 80 pendant seulement trois ou quatre jours, la moitié de vos organes sont déjà irrémédiablement endommagés. Aucune unité de soins intensifs ne pourra alors vous sauver ! Un petit jouet technique, l'oxymètre, suffit pour distinguer qui doit être traité rapidement.
Et les personnes peuvent décider elles-mêmes si elles veulent être traitées : Observez simplement votre taux d'oxygène dans le sang pendant les 10 à 14 prochains jours. S'il tombe en dessous de 90, dépêchez-vous d'aller à l'hôpital, car vous avez besoin d'oxygène plus que tout autre chose !
Si vous regardez ce qui se passe en Europe et que vous vous apercevez que l'OMS a d'abord déconseillé les masques. Il a été déconseillé de porter des masques. Elle a ensuite déconseillé les autopsies. Il faut enterrer les cadavres dans les 24-48 heures !
Et puis on a dit : "Prescrivez des analgésiques, renvoyez les gens chez eux jusqu'à ce qu'ils manquent d'air".Alors vous avez ainsi prononcé des condamnations à mort contre toutes ces personnes ! C'est un crime contre l'humanité !
Ce n'est que lorsqu'un pathologiste italien a décidé d'autopsier des morts au Covid que le monde a appris que le Covid-19 provoquait des caillots sanguins, de sorte que l'administration d'un anticoagulant aux patients hospitalisés a fait une grande différence et a sauvé de nombreuses vies.
Il n'y a donc même pas besoin de ces mots creux ...
Je suis tout à fait conscient que quelqu'un qui vous traite d'"antivax" ou de "théoricien du complot" indique ainsi qu'il est arrivé au bout de sa capacité de réflexion. Cette personne ne veut plus que l'on réfléchisse, elle a cessé de penser et ne veut plus être mise au défi.
Tout cela glisse sur la carapace de notre indifférence, ces insultes nous nous en moquons !
Le fait est que cette maladie peut être traitée ! Et aucun être humain au monde ne devrait encore en mourir ! En fait, si vous regardez l'avis, le protocole Zelenko, qui a été décrit par le Dr Zelenko, a été rédigé en mars de l'année dernière [2020]. Et quand il l'a décrit, il a beaucoup insisté sur le fait que l'hydroxychloroquine doit être prise avec du zinc pour qu'elle ait un effet. Car le zinc stoppe la réplication virale. L'hydroxychloroquine fait entrer le zinc dans la cellule. Le zinc seul ne sert donc à rien. L'hydroxychloroquine seule ne sert à rien.
C'est ce qu'il a décrit en mars ! Il n'avait pas encore publié de données. Et le monde scientifique réclamait des données qui le prouvent. Et il a fallu attendre juin ou juillet 2020 pour qu'il traite suffisamment de patients pour publier une étude rétrospective.
Et quand il a publié cette étude en pré-impression, le monde scientifique a exigé qu'elle passe par un processus d'évaluation par les pairs. Il a fallu attendre décembre 2020 pour que ce processus de peer review soit achevé.
Combien de personnes sont mortes entre mars et décembre 2020 ?
Quand il s'agit de zinc, d'hydroxychloroquine, d'azitromycine (un antibiotique), nous parlons de médicaments connus et sûrs depuis des décennies. Mais un vaccin qui a été fabriqué en un temps record peut être essayé dans le monde entier, très rapidement, parce que c'est "une urgence".
Il y a là quelque chose qui a très mal tourné dans la gestion de cette maladie par l'OMS!
C'est assez dégoûtant ! Que vous vouliez appeler ça une théorie du complot ou n'importe quel autre nom que vous voulez lui donner : Nous disons, selon toutes les lois de la logique et du bon sens, que quelque chose a très mal tourné dans la manière dont cette maladie a été gérée par l'Organisation mondiale de la santé, par les médias et par l'élite politique. Tout cela n'a aucun sens sur le plan médical ! Il y a vraiment quelque chose de louche !
L'avenir nous dira ce qu'il en est, mais si quelque chose peut être fait pour y mettre fin, nous devrions agir rapidement et avec détermination !
Uwe Alschner : Merci beaucoup ! Dr Karanja et docteur Ngare.
Merci de tout cœur ! Je vous souhaite le meilleur, et que Dieu vous bénisse !
Interview menée par Uwe Alschner
https://alschner-klartext.de/2021/03/30/wir-sind-keine-impf-gegner-sondern-gegner-der-dummheit/
Addendum : Le Dr Karanja est décédé le 28 avril 2021. Dix jours plus tôt, il avait été hospitalisé en raison d'une faible concentration d'oxygène dans le sang et, comme ses valeurs continuaient à se détériorer, il malheureusement été placé sous respirateur. Les médias ont rapporté le décès du Dr Karanja, parfois avec beaucoup de malice, parce que lui, un médecin qui s'était opposé à la vaccination Covid, ‘était mort du Covid-19’.
Dans une nécrologie émouvante, son co-président, le Dr Wahome Ngare, a fait ses adieux au Dr Karanja le 6 mai et y a confirmé l'infection au Covid. Le Dr Ngare a toutefois rappelé la position de la KCDA sur la vaccination et sur le Covid. Le Dr Karanja était lui-même un membre des groupes à risque, ce dont il était conscient. En tant que médecin, il ne s'est cependant pas ménagé dans l'intérêt de ses patients.
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