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Merci pour ce tableau précis, sinistre, et pressenti pour qui a suivi les nominations. A la lecture de ces détails, on éprouve une nausée. Comme d'ailleurs on a la nausée à la vue de la ministre allemande Baerbock en jeans blancs serrés et blouse blanche allant saluer le coupeur de tête nouvellement placé à la tête de la Syrie, en costume cravate et chemise blanche. La gestuelle des deux étaient parfaitement grotesques: elle a dû se dandiner puisqu'il ne fallait pas serrer la main, tradition oblige, et que visiblement elle ne savait pas quoi faire, et lui n'habite pas ses nouveaux vêtements, marchant comme une sorte de grand singe (que les singes me pardonne). Pareillement grotesques et nauséabond ailleurs: les bises échangées devant Notre Dame entre les Macron et leurs invités.

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