#3 Protéger son sang: les questions sur le sang des vaccinés
Coagulation, persistance de la spike, transmission de nanocontaminants...
Chers amis et lecteurs,
Dans une 1ère lettre, je vous ai fait part de mon expérience personnelle où j’ai refusé une transfusion sanguine pour éviter d’avoir du sang contaminé par la vaccination et dans la suivante, je vous ai raconté comment j’ai reconstitué mon sang en un temps record, par mes propres moyens.
Vou avez été nombreux à réagir à ces deux courriers et à m’apporter des témoignages et conseils et cela m’a vraiment touchée. Je vois que la thématique vous interpelle et c’est bien normal. Dans cette 3ème lettre, je rappelle quelques éléments qui soulèvent des inquiétudes. (Je reviendrai sur les actions et les traitements par la suite).
Y a-t-il des raisons de se méfier du sang de personnes vaccinées?
1. Le sang qui coagule
Il semble qu’en 2025, l’on ait encore peu d’informations sur le sujet. Mais voici déjà quelques éléments qui ont interpellé le public depuis le début des campagnes de vaccination Covid.
Tout d’abord, plusieurs chercheurs indépendants ont signalé une sorte d’agglutination ou de formation “en rouleaux” des globules rouges dans le sang des vaccinés, ce qui pourraît entraîner la formation de caillots sanguins et déclencher des problèmes tels que des thromboses, des myocardites, des AVC, des fausses couches, etc.
En août 2022, un rapport du Dr Riccardo Benzi, publié dans un journal indépendant avait comparé du sang d’un millier de personnes avant et après la vaccination à partir de spectroscopie “Raman” sur fond noir.
Traduction française de cet article par Guy Boulianne
Comparaison du sang d’un même individu avant vaccination (à gauche) et un mois après vaccination (à droite)
Une vidéo d’Ethic Citizen enregistrée auprès du Dr Armin Koroknay à Genève avait rapporté des observations identiques.
C’est également le cas du Dr Ana Mihalcea aux États-Unis, dont d’autres affirmations (le fait qu’il y aurait des nanotechnologies dans les vaccins Covid) sont très controversées.
Il y a aussi le travail du “groupe allemand”, une 60aine d’experts provenant de laboratoires hautement équipés, principalement dans des universités d’Allemagne et d’Autriche. Le rapport a été publié par le Prof Klaus Retzlaff en gardant l’anonymat des experts (qui ne sont pas fictifs, j’en avais rencontré quelques uns). Ces chercheurs ont examiné le sang de personnes vaccinées en utilisant toutes les technologies à disposition et sont parvenus aux mêmes conclusions:
“Le groupe a observé des formations cristallines dans le sang de tous les vaccinés examinés; dans tous les cas, les erythrocytes (globules rouges) présentaient une formation dite « en rouleaux ». Par ailleurs, la désintégration de différents types de cellules était plus rapide chez les vaccinés que dans le groupe de contrôle, ce qui soulève l’hypothèse d’une éventuelle artériosclérose, de maladies auto-immunes et/ou inflammatoires”.
À l’heure actuelle, on ne peut plus contester le fait que les vaccins Covid sont liés à des troubles cardio-vasculaires.
Pour rappel, en 2024 l’AME a retiré autorisation de mise sur le marché du vaccin Astra Zeneca, suite à des cas de thromboses graves (également observés pour d’autres vaccins Covid).
Quant aux myocardites post-vaccinales, elles étaient signalées depuis le tout début de la campagne de vaccination, mais le CDC et la Maison Blanche se sont évertués à étouffer l’affaire. Tout récemment, les notices des vaccins Pfizer et Moderna (Spikevax et Comirnaty) ont reçu un avis renforcé sur ce risque, en particulier pour les hommes entre 12 et 24 ans.
L’on notera à ce sujet, une étude prospective sur les risques de myocardite chez les jeunes après la vaccination Covid, ainsi que les travaux de pathologistes allemands sur des personnes décédées de mort subite dans les 10 jours après avoir été injectées. (les 2 sont bien expliqués dans cette vidéo).
Alors faut-il craindre qu’une transfusion puisse provoquer des caillots sanguins?
Malgré les éléments évoqués ci-dessus, ce risque précis semble faible. En effet, le sang est récolté dans des poches qui contiennent un anticoagulant, ce qui semble exclure ce type de problème, en tous cas à court terme.
Par ailleurs, la recherche publiée en 2025 par Kaiser Permanente semble plutôt rassurante. L’étude est une des rares à avoir comparé les risques de personnes transfusées à partir de dons de sang de sujets vaccinées, non-vaccinés ou ayant été infectés par le Sars-cov-2. Sur un corpus de 7773 personnes transfusées, les chercheurs n’ont pas constaté un plus grand nombre de caillots sanguins, de détresse respiratoire ou de décès chez les personnes ayant reçu le sang de vaccinés.
C’est plutôt une bonne nouvelle, mais cela n’exclut pas d’autres types de problèmes que celui de la coagulation du sang.
Quid des filaments dans les veines?
Un certain nombre d’embaumeurs ou “thanatopracteurs” affirment avoir retiré d’énormes caillots filandreux blancs lors de l’administration des liquides de conservation des corps défunts, alors qu’ils n’en avaient pour la plupart jamais vu de semblables avant la période d’introduction des vaccins Covid.
Le sujet avait été lancé par Hirschman dans un documentaire américain intitulé “Died suddenly” produit par le journaliste Stew Peters.
Le film avait immédiatement circulé sur les réseaux sociaux et l’AFP s’était fendu d’un fact-checking affirmant que les observations du documentaires n’étaient pas de nature à prouver quoi que soit. À l’époque, j’avais hésité à partager ce documentaire parce que les sources et les informations de Stew Peters ne sont pas toujours fiables et parce que je n’avais pas entendu de tels récits en Europe.
Et pourtant, il semble que ce phénomène soit aussi présent chez nous.
France Soir a par exemple a recueilli des témoignages similaires chez des thanatopracteurs français.
Idem pour Pierre Barnérias dans certaines interviews de la série Hold Up.
Et dans un entretien accordé à Omerta Media, le professeur Christian Perronne, qui a déclaré avoir fait “le tour de France des pompes funèbres”, a expliqué qu’ils étaient nombreux à avoir découvert des caillots ayant l’apparence de filaments blancs caoutchouteux dans le système veineux. Ils les auraient même appelés “calamars” dans le jargon de la profession.
Comme le montre cette enquête menée auprès de 304 embaumeurs provenant du monde entier le phénomène est mondial et semble persister.
Mais il ne s’agit pas vraiment de caillots sanguins!
L’analyse chimique de ces filaments indique que ce sont des aggrégats de protéines (amyloïdes) mal “pliées” qui se comporteraient comme des prions (et viendraient déformer les protéines voisines). La présentation de séquences de type prions et l’appartion de plusieurs cas de maladies de Kreutzfeld-Jacob avait d’ailleurs été signalée par le professeur Luc Montagnier (voir le cas de l’épouse de Marc Doyer).
Sans entrer dans les détails, ce phénomène serait lié aux modifications de codage des protéines Spike par l’ARNm vaccinal, différent de celui du “Sars-cov-2”. (Voir l’alerte lancée par Jean-Marc Sabatier).
La question de la sûreté de la transfusion de sang vacciné ne se limite donc pas aux caillots sanguins, mais à tous les risques posés par une possible transmission de la protéine Spike.
2. La persistance de la protéine Spike
Officiellement la protéine Spike reste au point d’injection et disparaît après 48h. Nous savons aujourd’hui que ces 2 postulats sont faux ou qu’il y a en tous cas de nombreuses exceptions. La question est donc de savoir combien de temps la protéine Spike peut continuer à circuler dans le corps?
En février 2023, des chercheurs annonçait avoir retrouvé la protéine Spike vaccinale dans le sang de plusieurs patients, jusqu’à 28 jours après l’injection chez environ 10% des injectés, les autres s’étant manifestement débarrassé de cette toxine.
Mais aujourd’hui, l’on sait que cela peut durer bien plus que cela. Chez certaines victimes d’AVC, la protéine Spike persiste dans les artères cérébrales 17 mois après la vaccination
Ou même 2 ans après l’injection.
Une étude récente de l’université de Yale, rapporte aussi que certains patients souffrant de syndrome post-vaccinal (la fatigue excessive, le brouillard cérébral, l'insomnie et les vertiges survenus dans les 48h après l’injection) auraient encore des protéines Spike dans le sang jusque 709 jours après leur dernier vaccin.
3. Le filtrage du sang
Certains diront que ces arguments sont risibles, parce que le sang recueilli pour les transfusions est filtré.
Certes, il y a bien un processus nommé déleucocytage qui consiste à séparer les globules blancs des globules rouges pour filtrer les éventuelles bactéries ou toxines contenues dans les globules blancs. Mais ce procédé fonctionne apparemment par la taille et par l’adhésion au filtre.
Question: les “mailles” des filtres sont-elles assez fines que pour retenir des protéines Spike?
Le filtre doit être assez petit que pour pouvoir retenir les globules blancs dont la taille est variable, 10 à 14 µm de diamètre pour les polynucléaires, 10 µm pour les petits lymphocytes, 15-20 µm pour les monocytes. On parle ici en micromètres.
Mais la taille de la protéine Spike est estimée en nanomètres, une unité mille fois plus petite que le micromètre. On mentionne 80 nanomètres pour les nanoparticules nanolipidiques qui transportent la spike et 40 nanomètres pour la protéine même.
Je n’ai pas trouvé la taille exacte des filtres que l’on utilise et je ne sais pas si c’est une taille standard, mais c’est une information qui me paraît intéressante, car les Spike sont accusées d’être responsables de nombreux autres problèmes: maladies auto-immunes, “turbo-cancers”, troubles de la fertilité, modifications génétiques. Et, comme l’a dit le Dr Mike Yeadon, faire un vaccin à partir de la protéine Spike, l’unique protéine toxique dans la séquence du Sars-cov-2, est un choix criminel délibéré.
4. Les contaminants
On parle beaucoup de la protéine Spike, mais on oublie trop souvent de parler des contaminants, ou même de certains ingrédients non-déclarés, que l’on retrouve dans de nombreux vaccins.
Pour avoir publié plusieurs articles sur ce sujet, voici ce qu’on peut en dire avec certitude: la qualité des vaccins et la pureté des produits n’est pas vraiment testée. Tout ce que l’on reçoit ce sont des papiers fournis par les fabricants qui vérifient eux-mêmes la qualité de leurs produits. Mais ils ne testent qu’un certain nombre de paramètres et contrairement à la nourriture dans nos supermarchés, le produit fini “sur les étagères” des pharmacies ou des centres de vaccination n’est jamais testé. La sécurité des produits devrait être contrôlée au niveau national (ANSM, AFMPS), mais en Europe pour la plupart des vaccins et pour le vaccin Covid en particulier, c’est l’Institut Paul Ehrlich en Allemagne qui est censé faire le boulot.
Or, si Paul Ehrlich a largement facilité et accéléré les autorisations (passe droits) pour le développement et le déploiement des vaccins Covid (BioNtech-Pfizer), l’Institut traine toujours la patte en ce qui concerne le suivi sur la sécurité de ces vaccins. Voir mon interview de Tom Lausen: “Allemagne: l’étude des vaccins Covid n’a jamais eu lieu”.
Et le problème ne concerne pas que les vaccins Covid…
Vous trouverez cet article que j’ai publié dans le Nexus #121 en accès libre, à la suite du “Plan mondial pour la vaccination.”
De manière générale, la plupart des vaccins contiennent des contaminants sous forme de nanoparticules métalliques (voir les travaux de Gatti et Montanari du labo Nanodiagnostics, à différencier des nanoparticules lipidiques qui sont des ingrédients déclaré des vaccins Covid), ainsi que de contaminants chimiques (résidus de pesticides, de médicaments) ou biologiques (par ex. ADN étranger).
En 2018, l’analyse de fioles de vaccins pédiatriques (GSK, Pasteur et Merck) effectuée en Italie grâce à l’association Corvelva (voir mon article “La vérité sur la qualité des vaccins” en accès libre dans le magazine Nexus 121) avait exposé tout cela au grand jour et avait même montré que dans certaines ampoules, on ne retrouvait pas les antigènes nécessaires pour provoquer la réponse immunitaire (pas de cacao, pas de chocolat, pas d’antigènes, pas d’immunité). Mais bon, pas de contrôle, pas de problème…
Je ne vois donc pas comment ce serait mieux pour les vaccins Covid, avec des compagnies pharmaceutiques exemptées de toute responsabilité en cas d’accident, grâce à Mme von der Leyen. Aucun motif de fournir le moindre effort.
On a même vu un cas où 2 vaccins différents ont été mélangés par erreur, sans que cela suscite beaucoup d’émoi (un sous-traitant de Johnson et Johnson avait ainsi gâché 400 millions de doses de vaccins Covid).
Et la qualité entre différents lots est un problème qui a été soulevée à plusieurs reprises par quelques cerveaux inquiets. (Voir 4 articles dans cette lettre: #1 intro à l’enquête sur la qualité des vaccins Covid #2 la loterie des lots pourris, le talon d’Achille de Big Pharma #3 l’exemple d’un lot pourri #4Un tiers des vaccins seraient-ils des placébos?)
Pour conclure cette 3ème lettre de ma “saga du sang”.
On ne peut pas affirmer avec certitude que ‘le sang des vaccinés pose problème’, mais tant que l’on ne répond pas à ces questions, on ne peut pas non plus affirmer qu’il est sûr. Dans le doute, on a le droit d’exiger des réponses et de demander d’établir des banques de données avec du sang de personnes non-vaccinées.
Voilà, n’hésitez pas à rajouter des informations dans les commentaires, ce post pourra être mis à jour. Dans les prochaines lettres, je parlerai des lanceurs d’alerte et de la législation sur les dons de sang.
Merci, excellent article et liens très intéressants.
J'ai interrogé chatgpt pour savoir si cette proteine amyloÏde (surtout proline, expliqué dans un des liens) est facilement dégradable par dioxyde de chlore (CDS), réponse: non; très stable au contact du ClO2 (contrairement à cysteine, tyrosine, tryptophane).
Pour "nettoyer" au mieux après transfusion douteuse, plutot s'orienter vers produits phyto: curcumine, thé vert, révérastrol, HE romarin/basilic/menthe, DHA/omega-3, et les classiques: Vitamine C, glutathion (ou NAC), zinc, sélénium... et aussi jeûne intermittent / restriction calorique; sinon il y aurait aussi : refuser le sang/serum et exiger du quinton, mais c'est assez compliqué en France!
Ça c’est du journalisme :-)