Chers lecteurs,
Voici replay (attention la vidéo démarre à 7min40) de l’émission préparatoire au colloque ‘La dérive totalitaire sur les enfants’ qui se tiendra le 13 mai à Paris (c’est complet, mais il est également possible de s’inscrire à la visioconférence).
J’ai eu beaucoup de plaisir à participer à cette discussion, en raison de la qualité des intervenants, leur grande expertise, ainsi que la profondeur de leurs réflexions. J’ai aussi hâte de poursuivre ce travail interdisciplinaire, afin d’exposer de la manière la plus complète les malversations de l’OMS, et surtout de dégager des leviers d’action pour les contrer, dans la mesure de nos limites.
Voici quelques commentaires que j’ai envie de partager à la suite de cet enregistrement:
J’imagine que de nombreuses personnes se demandent ce qui peut lier le thème de la vaccination obligatoire avec celui de l’imposture des droits sexuels?
Comme je l’ai mentionné dans l’émission, c’est grâce au travail de Vera Sharav, une rescapée de l’Holocauste qui met en garde contre les dérives totalitaires des politiques actuelles, que je suis récemment entrée en contact avec Ariane Bilheran. Ariane s’est exprimée à la fois sur le sujet du totalitarisme et sur la pédophilie et l’imposture des droits sexuels de l’enfant depuis de nombreuses années. En recoupant les informations qui concernent nos domaines de connaissance respectifs, nous avons d’abord pu remarquer à quel point, il y a aujourd’hui des similitudes dans les politiques et les stratégies de communication utilisée par l’OMS autour des agendas de ‘l’éducation à la sexualité’ et de la vaccination. On peut relever d’emblée certains points communs:
Le caractère obligatoire de mesures qui vont à l’encontre des libertés individuelles dans une société démocratique.
Les parents et la notion d’autorité parentale qui sont mis à l’écart. Dans certains cas, il est arrivé que l’on vaccine les enfants à l’insu des parents, ou que l’on promeuve un changement d’identité de genre, sans les mettre au courant.
La volonté d’abaisser l’âge auquel l’enfant est censé pouvoir donner son consentement.
Une effraction du corps et/ou de la psyché de l’enfant susceptible de provoquer des troubles physiques ou émotionnels.
L’enseignement de notions et de pratiques qui tiennent de l’idéologie, à des âges où l’enfant n’est pas capable de les conceptualiser.
Les deux thématiques sont une mainmise sur la fertilité et la reproduction (l’enjeu ‘démographique’ de l’agenda mondialiste, que nous avons déjà évoqué ailleurs).
En poursuivant ma réflexion, je me suis aussi attardée sur la notion fondamentale de l’effraction, exposée par Ariane et ses collègues. Celle-ci décrit la manière dont l’introduction précoce de la sexualité a un effet intrusif qui brise la sphère d’innocence protectrice nécessaire au développement de l’enfant. (Ce sont mes mots, mieux vaut écouter les expertes pour une définition plus précise).
J’y vois un parallèle intéressant avec la vaccination que beaucoup de personnes ressentent aussi comme une effraction, une forme de viol de l’intégrité corporelle. Car ce n’est pas seulement l’aiguille qui pénètre douloureusement le corps d’un enfant qui se débat, mais aussi le fait d’administrer, contre la volonté du parent, un agent agresseur, potentiellement dangereux, à son enfant. Il ne faut pas oublier que le principe de la vaccination est d’infliger un agent qui rend malade, la souche pathogène, pour ‘apprendre à lui résister’. Que l’on injecte la maladie ‘en mini’ avec un virus vivant atténué, ou par un virus mort associé à une toxine (l’adjuvant qui est en réalité un attaquant, car son rôle est d’agresser l’organisme), l’objectif affiché est d’entraîner l’enfant à réagir de manière artificielle et précoce à la maladie.
Or son système immunitaire n’est pas encore assez mature, contrairement à celui de l’adulte. Cette exposition précoce à des agents toxiques est un des facteurs de risque évoqués pour expliquer les dommages suivant la vaccination chez les enfants. Alors, pourquoi donc imposer un vaccin à un âge où l’enfant est plus fragile et où parfois, il n’est même pas à risque? Idem pour les vaccins Covid?
Idem pour la soi-disant éducation précoce à la sexualité…L’appât du gain ne suffit pas à justifier une pratique maltraitante, où le risque de l’enfant est de loin supérieur au bénéfice proclamé.
L’agenda de contrôle de l’OMS sur la santé mondiale se renforce et s’accélère, avec une idéologie de la santé et de la sexualité qui ne repose sur rien de scientifique, mais dont les mêmes acteurs et promoteurs engrangent les bénéfices.
A l’heure actuelle, les parents sont les derniers remparts face à cette prédation de l’enfance, et il faut absolument prendre la mesure de ce qui se passe pour envisager des actions concrètes et immédiates afin de protéger nos enfants, abîmés à notre insu.
Je vous encourage vivement à écouter cette vidéo, à suivre le colloque et les actions qui en découleront et à nous faire part de vos idées et initiatives.
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