Le racket de Bill Gates et de l'industrie de la pandémie
Pour le boss de l'OMS, 1$ investi en vaccins rapporte 20X sa mise.
Bill Gates est le principal investisseur de l’OMS, comme il peut actionner tous les leviers de la prévention et de la réponse aux pandémies, ce juteux business risque de créer un trou noir dans nos budgets santé.
Nourriture d’insectes, moustiques vaccinateurs, nuages de carbone pour bloquer le soleil, terres agricoles, banques de semences, réacteurs nucléaires en Chine, robots d’assistance, il faudrait une encyclopédie pour explorer tous les domaines où l’on retrouve la patte de Bill Gates. Mais depuis que le philanthrope-investisseur a lancé sa Fondation, c’est le domaine de la santé qui est devenu sa chasse privée.
La véritable ascension de Bill Gates au sommet de la santé mondiale a commencé en 2000, lorsque Bill Gates s’est associé à Anthony Fauci, le médecin le plus puissant de l’Amérique pour lancer ensemble « la décennie de la vaccination ».
Au fil des ans, Bill Gates est devenu le 1er contributeur privé de l’OMS, avec des dons qui oscillent entre 10 et 20% du budget selon les années, et selon le cumul des dons faits par d’autres fonds, GAVI, l’Alliance Globale pour la Vaccination qu’il a fondée avec la banque mondiale, ou encore l’UNICEF, les fonds pour le sida, la tuberculose ou la malaria et le Rotary International, pour n’en citer que les principaux.
Dans une interview à Davos en janvier 2019, Bill Gates a affirmé avoir transformé 10 milliards de dollars en 200 milliards de bénéfices grâce aux vaccins. Il possède des actions chez GSK, Merck, Sanofi, Novartis et Curevac et a largement prospéré durant la pandémie.
10 milliards de gain sur la pandémie!
Sa fondation avait donné 20 millions de dollars à Moderna pour développer les vaccins Covid et signé un accord de plus de 100 millions de dollars pour développer la plateforme ARN, en échange de brevets d’exclusivité (non communiqués). Idem avec le vaccin Pfizer/BioNtech, dans lequel il a eu le ‘flair’ d’investir 55 millions de dollars en septembre 2019, qui lui en ont rapporté 10X plus. Le magazine Forbes estime que la pandémie lui a rapporté 10 milliards de dollars.
Il est aussi impliqué dans les applications de traçage, les certificats numérique et le programme ID2020 qui compte attribuer un carte d’identité numérique à chaque habitant de la planète. Les données de santé des européens seront également gérées par Microsoft.
Entre exercices de simulation de pandémies (Event 201), fonds d’investissement pour les vaccins pandémiques (CEPI), accords spéciaux avec la FDA pour accélérer la mise sur le marché de nouveaux produits et toutes les applications qui concernent la surveillance, le contrôle, la collecte des données pour « la santé numérique », Bill Gates est le grand architecte de la pandémie.
En 2023, il a publié la suite de ses projets dans un livre intitulé: « Comment éviter la prochaine pandémie ». Gates veut déployer une « milice du microbe » appelée GERM, avec des équipes de réponse et de mobilisation aux urgences sanitaires qu’il déploierait autour de la planète à la moindre alerte. Chaque pays aurait son agence, et les équipes GERM seraient aux avant-postes pour détecter et gérer les risques d’urgence sanitaire, en partenariat avec l’OMS. Des tests et des vaccins pourraient être produits et distribués sur place en un temps record, l’objectif étant de pouvoir vacciner toute la planète en moins de 6 mois.
Pourquoi personne ne le critique ? Bill Gates consacre au moins 320 millions de dollars à financer la presse. Aux USA : le New York Times, le Huffington Post, NPR, ABC. En Europe : la BBC, le Guardian, Daily Telegraph, le Monde, Bild. Il contrôle les messages sur Facebook, MSN et paye des compagnies de Fact Checker (ex. Politifact). Et il finance aussi le journalisme d’investigation, des maisons de la presse et offre des bourses universitaires pour la formation des journalistes.
Son point faible ? Sa relation avec Jeffrey Epstein. Si Mélinda Gates a demandé le divorce, c’est probablement pour ne pas se retrouver derrière des barreaux.