#4 Qualité vax : près d'un tiers des vaccins en Europe seraient-ils des placébos ?
Pour Mike Yeadon: quelqu'un savait à l'avance quels étaient les lots pourris et les lots inoffensifs des vaccins Covid !
Cet article fait suite aux trois précédents sur ma lettre et au grand dossier paru dans Néosanté en mars 2023.
#1 intro à l’enquête sur la qualité des vaccins Covid
#2 la loterie des lots pourris, le talon d’Achille de Big Pharma
Le gouverneur de la Californie Gavin Newsome présentant la loterie réservée aux vaccinés.
Les lots blancs et les lots pourris.
A quoi bon se faire la guerre sur l’efficacité, le contenu et la sûreté des injections Covid si l’on n’a pas à faire à un, mais plusieurs produits ?
J’ai déjà mentionné dans les précédents articles sur la qualité des lots que l’on ne saurait assez attirer l’attention sur le fait qu’il y a indéniablement ‘des lots pourris’, des lots pour lesquels le nombre d’effets secondaires et de décès est nettement plus élevé. À côté de cela, il semble aussi y avoir des lots ‘blancs’ pour lesquels rien n’est rapporté.
En soi, cette seule constatation devrait conduire à un moratoire immédiat sur la vaccination, puisque cela signifie indéniablement, à minima, que le contrôle sur la qualité des lots est défaillant. La vaccination peut alors être qualifiée de ‘loterie’ à juste titre…
Là où cela devient encore plus inquiétant, c’est lorsque l’on se trouve face à l’interrogation de savoir si une partie de cette ‘variabilité’ des lots est intentionnelle. Si c’est bien le cas, il n’y a d’autre choix que de dénoncer une responsabilité criminelle. Les éléments dont on dispose actuellement sont suffisamment graves que pour ne plus pouvoir écarter cette question.
L’étude danoise qui inquiète
Une analyse des signalements réalisée au Danemark avait révélé des variations très importantes du nombre d’effets secondaires rapportés pour différents lots du vaccin Pfizer-BioNTech.
La majorité des effets indésirables graves concernait seulement 4,2 % des lots, des lots que l’on appellera donc ‘pourris’. À l'inverse, 32,1 % des lots totalisait moins d’1% des effets secondaires, autant dire : rien. Comment expliquer cette variation stupéfiante ?
Alertés par cette observation, deux chercheurs allemands, le Dr Gerald Dyker, professeur de chimie organique à la Ruhr-Uni Bochum, et le Dr Jörg Matysik, professeur de chimie analytique à l'université de Leipzig, se sont penchés sur la question, en se tournant d’abord vers les travaux de l’Institut Paul Ehrlich.
L'Institut Paul Ehrlich est l'agence fédérale allemande qui s’occupe à la fois de la réglementation et du contrôle des vaccins et des médicaments. Mais sa compétence dépasse les frontières de l’Allemagne, puisqu’elle est aussi l’agence de référence responsable de tous les tests de contrôle de la qualité des vaccin Pfizer-BioNTech COVID-19 distribués dans l'Union européenne.
Le fait que le vaccin Pfizer-BioNTech COVID-19 ait été fabriqué par la société allemande BioNTech et mis sur le marché sur base d’autorisations fournies par l’institut allemand Paul Ehrlich, et le fait que cet institut soit aussi l’organisme de référence pour la pharmacovigilance du vaccin auprès de l’Agence européenne des médicaments pose question. Pourquoi tout repose-t-il sur un seul Institut et un seul pays? Pourquoi ne pas faire contrôler les lots par différentes agences, surtout dans un cas de procédure accélérée ?
Si Pfizer-BioNTech voulaient influer sur le processus de contrôle de la qualité de leur produit expérimental, il leur suffirait de corrompre les dirigeants d'une seule institution.
Comme les professeurs Dyker et Matysik l'ont présenté lors d'une conversation avec un podcasteur allemand le 22 juin 2023, l'Institut Paul Ehrlich était effectivement responsable des tests de contrôle de la qualité des trois lots de vaccins qui ont fait l'objet de l'étude danoise.
Ce qui est étonnant (et presque certainement une preuve de fraude), c'est que l'Institut savait d'une certaine manière à l'avance qu'il n'était pas nécessaire d'effectuer des tests de contrôle de qualité sur les 32,1 % des lots qui ont été associés à des effets secondaires presque nuls. Cette constatation est illustrée par les graphiques suivants :
Pourquoi les lots ‘blancs’ ne sont-ils '(presque) pas testés?
Le premier graphique (ci-dessus) est tiré de l'étude danoise. La ligne supérieure (bleue) indique le nombre élevé d'effets indésirables associés à seulement 4,2 % des lots. La ligne du milieu (verte) indique le nombre modéré d'événements indésirables associés à 63,7 % des lots. La ligne la plus basse (jaune) exprime le nombre pratiquement nul d'effets secondaires associés à 32,1 % des lots.
Le deuxième graphique (ci-dessous) a été compilé par les professeurs Dyker et Matysik et s'intitule "Quels lots de l'étude danoise l'Institut Paul Ehrlich a-t-il testés ?"
Les lots de gauche (en bleu) sont ceux associés au taux extrêmement élevé d'effets indésirables. L'Institut Paul Ehrlich a testé TOUS ces lots et n'a apparemment rien trouvé de défectueux.
La colonne du milieu (verte) présente les lots associés à un nombre modéré d'effets indésirables dans l'étude danoise. L'Institut Paul Ehrlich a testé tous ces lots sauf deux et n'a rien trouvé de défectueux.
La colonne de droite (jaune) présente les lots qui ont été associés à un nombre pratiquement nul d'effets indésirables. L'Institut Paul Ehrlich n'a jugé nécessaire de tester qu'UN seul de ces lots. POURQUOI ?
Tableau des professeurs Dyker et Matysik: “Quels lots de l'étude danoise l'Institut Paul Ehrlich a-t-il testés ?”
L’Institut Paul Ehrlich avait-il connaissance de lots ‘blancs’ ?
Comme l'indiquent les professeurs dans leur interview, ces résultats font naître une "première suspicion" (en allemand : Anfangsverdacht) du fait que l'Institut Paul Ehrlich savait à l'avance que les lots de la colonne jaune ne produiraient pas d'effets secondaires. Cela conduit à l’hypothèse qu'un tiers des lots était une sorte de PLACEBO. Il ne s'agit probablement pas d'une simple solution saline, mais plutôt d'une substance qui ne contient AUCUN ingrédient bioactif.
On ne saurait trop insister sur l'importance des résultats obtenus par ces professeurs allemands. Comment l'Institut Paul Ehrlich aurait-il pu savoir, a priori, qu'il n'était pas nécessaire de tester précisément les lots associés à des effets secondaires quasi nuls ?
Et que penser du fait que l'Institut Paul Ehrlich a testé les 4,2 % de lots qui étaient associés à un nombre élevé d'effets indésirables et les a quand même diffusés ?
Comme l'indiquent les professeurs dans leur interview, ils ont envoyé une lettre à l'Institut Paul Ehrlich dans laquelle ils demandaient une explication, mais au 23 juin, date à laquelle l'interview a été réalisée, l'Institut n'avait toujours pas répondu.
Leurs conclusions ne sont-elles pas suffisamment graves que pour procéder à l'ouverture d'une enquête criminelle ?
Il faut imaginer les implications de la décision de livrer 1/3 des produits du programme de vaccination de Pfizer-BioNTech en Europe, sans l’ingrédient considéré actif dans le vaccin ?.
Pourquoi cela ? Peut-on imaginer que Pfizer-BioNTech et ses complices se seraient-ils aperçus que leur nouveau produit provoquait trop d'effets indésirables? Au lieu de retirer purement et simplement le produit du marché , ils auraient alors décidé de livrer un tiers d’injections ‘blanches’. Ainsi, un tiers de la population n'aurait pas réellement été vacciné, le reste aurait couru le risque des effets secondaires et de tomber sur un des mauvais lots.
Le commentaire de Mike Yeadon
Il est intéressant de suivre l’avis de Mike Yeadon. En tant qu’ancien vice-président de la division Recherche et Développement pour les maladies respiratoires chez Pfizer, Mike Yeadon s’est insurgé dès la conception des vaccins Covid contre la violation de toutes les règles de précautions scientifiques et éthiques par les fabricants des vaccins Covid. Dans le 4ème épisode de la série de Vera Sharav ‘Plus Jamais ça, c’est maintenant et mondial’, Mike Yeadon a soulevé une question extrêmement lourde de conséquences : Pourquoi tous les fabricants de vaccins Covid, ont-ils choisi d’utiliser la protéine Spike pour leur vaccin, la protéine qui est l’agent toxique dans la maladie, alors que d’autres protéines de Coronavirus (inoffensives) auraient pu être utilisées?
Mike Yeadon a ensuite accusé tous les directeurs scientifiques des grands producteurs de ces vaccins, qu’il connait personnellement, de crimes contre l’humanité et les a appelé à démissionner.
Voici ce qu’il écrivait récemment sur le blog de Peter McCullogh dans un article concernant les observations sur la variation dans la qualité des lots des vaccins Covid :
Je n'ai effectué aucun des travaux confirmant les énormes variations d'effets indésirables entre les lots. C'est Craig Paardekooper (de ‘how bad is your batch’) qui en est à l'origine.
Mais j'ai immédiatement compris l'importance de ces observations.
Le produit n'a pas été fabriqué correctement et il est possible que ce soit de manière délibérée, en toute connaissance de cause.
J'ai contacté Craig et nous avons fait un zoom.
C'est ainsi que j'ai aussi rencontré Sasha Latypova (une entrepreneuse du secteur Pharma), qui, indépendamment, s'est également tournée vers Craig, et nous avons conversé tous les trois à plusieurs reprises. Sasha a effectué des analyses indépendantes, ce qui était important. La réplication est un principe essentiel d'une bonne recherche scientifique empirique.
Je ne suis pas une personne compétente en informatique et je n'ai rien ajouté à l'analyse, mais j'en savais beaucoup sur les bases de la fabrication des produits pharmaceutiques et sur ce que les résultats impliquaient.
J'en ai parlé parce que je croyais alors et je crois toujours qu'au moins Pfizer, ou qui que ce soit d'autre, a obtenu des informations utiles sur les relations entre la dose et la toxicité.
Une partie du travail de Craig a dérapé lorsqu'il a fait une hypothèse sur l'ordre des dates des lots, je crois, mais il l'a corrigée et ce que vous voyez aujourd'hui au Danemark, deux ans plus tard, est tout à fait cohérent avec ses premières observations.
Craig est un penseur hors du commun et il a approfondi les détails du système de numérotation des lots, révélant des informations extrêmement troublantes.
Il y avait un schéma alphanumérique répétitif dans la toxicité signalée au VAERS.
“ Nous n'avons pas pu trouver d'autre solution que de déduire que la personne qui numérotait les lots SAVAIT À L'AVANCE lesquels allaient être les plus mortels”.
“Rien de tout cela ne me choque plus” .
Une fois que vous avez compris que la conception même de ces agents est destinée à blesser, mutiler et tuer, vous tombez sur des preuves effroyables.
Quelque temps plus tard, j’ai rencontré Hedley Rees, un expert en fabrication de produits biopharmaceutiques complexes et en questions réglementaires. Il a lui aussi été impliqué dans cette affaire. Nous travaillons souvent ensemble avec le Dr Lee Vliet de la Fondation TruthForHealth et son "Whistleblower Report" hebdomadaire. Nous avons récemment été rejoints par Andryja Klaric de Croatie, une entrepreneuse qui a contribué à l'organisation de la plus grande manifestation publique de l'histoire de la Croatie.
Je suis ravie que des militants de première ligne comme le Dr Peter McCullough aient écrit ces derniers jours sur le caractère choquant de ce lot de variations de toxicité.
“Il y a longtemps que j'ai souligné qu'il n'y avait aucune possibilité qu'il s'agisse d'erreurs “.
Désolé de vous dire cela… La conception de base de ces agents injectés, la fabrication précipitée, la falsification des essais cliniques, le court-circuitage des régulateurs et l'étonnante diffamation et censure des voix critiques, y compris de nombreuses personnes qui ont fait toute leur carrière dans le domaine de la R&D et de la fabrication pharmaceutiques, n'ont laissé, il y a des années et des années, d'autre choix à toute personne impartiale que d'accepter que des niveaux hideux de malversation sont évidents dans l'ensemble de l'épisode covidien.
Ne laissons pas passer deux ans de plus avant de nous rendre compte de ce qui se passe et de nous raidir pour résister et dire NON à l'absurdité du contrôle numérique.
Bien sincèrement,
Mike
THANK YOU for your investigation